Bonjour les artistes, aujourd’hui je vais vous parler d’un sujet qui vous concerne tous : comment trouver l’inspiration pour votre prochain roman ? Que vous soyez débutant ou confirmé, vous avez sûrement déjà connu le syndrome de la page blanche, cette sensation de ne pas savoir quoi écrire, de ne pas avoir d’idées, de ne pas être inspiré. Comment faire pour débloquer votre créativité et donner vie à vos personnages, à vos intrigues, à vos univers ? Voici quelques conseils et astuces pour vous aider à trouver l’inspiration pour votre prochain roman. 🤩
L’inspiration est un phénomène mystérieux et complexe, qui varie selon les individus, les moments, les circonstances. Il n’existe pas de recette magique ni de méthode universelle pour la provoquer ou la contrôler. Cependant, il existe des stratégies et des pratiques qui peuvent favoriser son apparition et sa stimulation.
Dans cet article, je vais vous présenter les principales sources d’inspiration pour les écrivains, les techniques de brainstorming pour générer des idées originales, les moyens de s’inspirer de son vécu, de ses lectures et de son environnement, les étapes pour structurer son roman à partir d’une idée de base, les pièges à éviter lorsqu’on cherche l’inspiration, et les avantages de faire appel à un coach artistique. 😍
Je vais également vous donner des exemples concrets et des témoignages d’écrivains célèbres ou débutants. J’espère que cet article vous sera utile et vous donnera envie d’écrire votre prochain roman. 🥳
Quelles sont les sources d’inspiration les plus courantes pour les écrivains ?
L’inspiration peut venir de partout, il suffit d’être attentif et curieux. Voici quelques sources d’inspiration qui peuvent vous inspirer pour votre prochain roman :
Votre vécu : vous pouvez vous inspirer de vos expériences personnelles, de vos souvenirs, de vos émotions, de vos rêves, de vos fantasmes, de vos peurs, de vos envies. Vous pouvez aussi vous inspirer des personnes que vous connaissez, de leurs caractères, de leurs histoires, de leurs secrets. Attention toutefois à ne pas tomber dans l’autobiographie ou le roman à clef, et à respecter la vie privée des personnes réelles. De nombreux écrivains ont puisé dans leur vécu pour créer leurs œuvres, comme Marcel Proust avec À la recherche du temps perdu, Albert Camus avec L’Étranger, ou Marguerite Duras avec L’Amant.
Vos lectures : vous pouvez vous inspirer des livres que vous avez lus, des genres que vous aimez, des auteurs que vous admirez. Vous pouvez reprendre des thèmes, des motifs, des personnages, des situations, des styles, des techniques littéraires. Attention toutefois à ne pas plagier ou copier les œuvres existantes, et à apporter votre touche personnelle et originale. De nombreux écrivains ont été influencés par leurs lectures pour écrire leurs romans, comme J.R.R. Tolkien avec Le Seigneur des anneaux, qui s’est inspiré de la mythologie nordique et de la littérature médiévale, George Orwell avec 1984, qui s’est inspiré du totalitarisme et de la dystopie, ou J.K. Rowling avec Harry Potter, qui s’est inspirée de la fantasy et du folklore.
Votre environnement : vous pouvez vous inspirer du monde qui vous entoure, de l’actualité, de la société, de la culture, de l’histoire, de la géographie, de la nature, de la science, de la technologie. Vous pouvez observer les lieux que vous visitez, les événements que vous vivez, les phénomènes que vous découvrez. Attention toutefois à ne pas être trop réaliste ou documentaire, et à créer votre propre univers fictionnel. De nombreux écrivains ont tiré parti de leur environnement pour imaginer leurs romans, comme Victor Hugo avec Notre-Dame de Paris, qui s’est inspiré du monument historique et du Moyen Âge, Agatha Christie avec Le Crime de l’Orient-Express, qui s’est inspirée du célèbre train et d’un fait divers réel, ou Michael Crichton avec Jurassic Park, qui s’est inspiré des progrès scientifiques et des dinosaures.
Comment utiliser les techniques de brainstorming pour générer des idées originales ?
Le brainstorming est une technique créative qui consiste à produire un maximum d’idées en un minimum de temps, sans se censurer ni se critiquer. Le brainstorming peut se faire seul ou en groupe. Voici quelques techniques de brainstorming qui peuvent vous aider à générer des idées originales pour votre prochain roman :
Le mind mapping : il s’agit de dessiner une carte mentale qui part d’un mot-clé central et qui se ramifie en plusieurs branches qui représentent des idées associées. Par exemple, si votre mot-clé est " amour ", vous pouvez avoir comme branches " romance ", " passion ", " trahison ", " jalousie ", " séparation ", etc. Vous pouvez ensuite ajouter des sous-branches qui précisent ou enrichissent vos idées. Par exemple, sous " romance ", vous pouvez avoir " coup de foudre ", " relation à distance ", " mariage ", etc. Le mind mapping vous permet d’organiser visuellement vos idées et de faire des liens entre elles. Vous pouvez utiliser un logiciel ou une application de mind mapping, ou simplement un papier et un crayon. Voici un exemple de mind map sur le thème de l’amour.
Le freewriting : il s’agit d’écrire librement pendant un temps défini (par exemple 10 minutes) sans s’arrêter ni se relire. Vous écrivez tout ce qui vous passe par la tête, sans faire attention à la forme ni au sens. Le freewriting vous permet de libérer votre flux de pensée et de surprendre votre imagination. Vous pouvez utiliser un ordinateur ou un cahier, et choisir un déclencheur d’écriture, comme une image, une phrase, un mot, etc. Voici un exemple de freewriting à partir du mot " mystère " : " Je ne sais pas ce qui m’attend au bout du couloir. Je n’ai pas le choix, je dois avancer. Je sens mon cœur battre à tout rompre, ma gorge se nouer, ma sueur couler. Je n’ai pas peur, je suis curieux. Quel est ce mystère qui m’attire comme un aimant ? Qui est cette voix qui m’appelle dans le noir ? Quel est ce secret qui se cache derrière cette porte ? Je vais le découvrir, je vais le percer, je vais le vivre. Je suis prêt à tout pour connaître la vérité, quitte à risquer ma vie, quitte à changer à jamais. "
Le jeu des questions : il s’agit de se poser des questions à partir d’une idée initiale et d’y répondre spontanément. Par exemple, si votre idée initiale est " un homme se réveille dans un hôpital sans souvenir ", vous pouvez vous poser les questions suivantes : Qui est cet homme ? Pourquoi a-t-il perdu la mémoire ? Que s’est-il passé avant son réveil ? Qui sont les personnes qui l’entourent ? Que va-t-il faire ensuite ? Le jeu des questions vous permet d’explorer les différentes facettes et conséquences de votre idée. Vous pouvez utiliser un enregistreur vocal ou un dictaphone pour ne pas perdre le fil de vos pensées, ou écrire vos questions et vos réponses sur un document.
Voici un exemple de jeu des questions à partir de l’idée initiale " une femme découvre qu’elle a le pouvoir de voyager dans le temps " :
Qui est cette femme ? C’est une étudiante en histoire, passionnée par le passé, mais insatisfaite de sa vie présente.
Pourquoi a-t-elle le pouvoir de voyager dans le temps ? Elle a hérité d’un pendentif magique de sa grand-mère, qui lui a révélé son secret avant de mourir.
Que se passe-t-il quand elle voyage dans le temps ? Elle peut choisir l’époque et le lieu où elle veut aller, mais elle ne peut pas rester plus d’une heure dans le passé, sinon elle risque de modifier l’histoire.
Qui sont les personnes qu’elle rencontre dans le passé ? Elle rencontre des personnages historiques célèbres ou anonymes, qui lui font découvrir leur époque et leur culture.
Que va-t-elle faire avec son pouvoir ? Elle va profiter de son pouvoir pour assouvir sa curiosité et sa soif d’aventure, mais elle va aussi se rendre compte des dangers et des responsabilités qu’il implique.
Ces techniques de brainstorming sont des outils efficaces pour stimuler votre créativité et trouver des idées originales pour votre prochain roman. N’hésitez pas à les essayer, à les combiner, à les adapter à votre convenance. L’important est de vous amuser, de vous laisser surprendre, et de ne pas vous censurer.
Comment s’inspirer de son vécu, de ses lectures et de son environnement ?
S’inspirer ne signifie pas reproduire ou imiter, mais transformer et réinventer. Pour s’inspirer de son vécu, de ses lectures et de son environnement, il faut savoir faire preuve de :
Distanciation : il s’agit de prendre du recul par rapport à la réalité et de la modifier selon votre vision et votre intention. Vous pouvez changer les noms, les lieux, les dates, les faits, les causes, les conséquences. Vous pouvez aussi mélanger, fusionner, inverser, amplifier, réduire, détourner, subvertir les éléments de la réalité. Par exemple, si vous vous inspirez d’un fait divers réel pour écrire un roman policier, vous pouvez changer le nom du criminel, le lieu du crime, la date des faits, le mobile du meurtre, le mode opératoire du tueur, etc. Vous pouvez aussi mêler des éléments fictifs à la réalité, comme des témoins imaginaires, des indices inventés, des rebondissements imprévus, etc.
Imagination : il s’agit de créer du nouveau à partir de l’existant et de donner vie à votre propre univers. Vous pouvez inventer des personnages, des situations, des dialogues, des descriptions, des actions, des rebondissements. Vous pouvez aussi introduire des éléments fantastiques, magiques, surnaturels, futuristes, mythologiques, etc. Par exemple, si vous vous inspirez d’un personnage historique pour écrire un roman fantastique, vous pouvez lui attribuer des pouvoirs surnaturels, le faire voyager dans le temps ou dans l’espace, le confronter à des créatures fantastiques ou à des ennemis redoutables, etc.
Originalité : il s’agit de sortir des sentiers battus et de proposer quelque chose d’unique et de personnel. Vous pouvez jouer avec les codes, les genres, les styles, les points de vue, les structures. Vous pouvez aussi surprendre, choquer, émouvoir, faire rire, faire réfléchir votre lecteur. Par exemple, si vous vous inspirez d’un genre littéraire pour écrire un roman original, vous pouvez en détourner les conventions, les clichés, les stéréotypes. Vous pouvez aussi mélanger plusieurs genres, créer un genre nouveau, ou inventer votre propre genre.
Comment structurer son roman à partir d’une idée de base ?
Une idée de base n’est pas suffisante pour écrire un roman. Il faut la développer et la structurer en un plan qui va guider votre écriture. Voici quelques étapes pour structurer votre roman à partir d’une idée de base :
Définir le genre : il s’agit de choisir le type de roman que vous voulez écrire (policier, fantastique, historique, etc.) et d’en respecter les codes et les attentes (intrigue, ambiance, personnages, etc.). Le genre va influencer le choix du thème, du conflit, des personnages, du cadre et de la structure de votre roman. Par exemple, si vous voulez écrire un roman policier, vous devrez choisir un thème lié au crime, au mystère, à la justice, etc., créer un conflit entre le héros (le détective) et l’antagoniste (le criminel), inventer des personnages impliqués dans l’enquête (les suspects, les témoins, les victimes, etc.), situer votre roman dans un lieu et une époque propices au suspense (une ville sombre, une époque troublée, etc.), et utiliser une structure qui ménage le suspense et les rebondissements (introduction du crime, présentation des indices, fausses pistes, résolution de l’énigme, etc.).
Définir le thème : il s’agit de choisir le sujet principal ou le message que vous voulez transmettre à travers votre roman (l’amour, la mort, la liberté, etc.) et d’en dégager une problématique (qu’est-ce que l’amour ? comment affronter la mort ? comment être libre ? etc.). Le thème va donner du sens et de la profondeur à votre roman. Il va aussi orienter le choix du conflit, des personnages, du cadre et de la structure de votre roman. Par exemple, si vous voulez écrire un roman sur l’amour, vous devrez choisir un conflit qui mette en jeu les sentiments des personnages (une séparation, une trahison, un triangle amoureux, etc.), créer des personnages qui soient attachants, complexes, évolutifs (le héros amoureux, l’être aimé, le rival, etc.), situer votre roman dans un lieu et une époque qui renforcent l’émotion (un pays exotique, une époque romantique, etc.), et utiliser une structure qui fasse vivre au lecteur les joies et les peines des personnages (rencontre, séduction, passion, crise, rupture, réconciliation, etc.).
Définir le conflit : il s’agit de choisir le moteur ou le nœud dramatique de votre roman (ce qui empêche le héros d’atteindre son but ou ce qui le met en danger) et d’en déterminer les causes et les conséquences (qui ou quoi s’oppose au héros ? pourquoi ? comment ?). Le conflit va créer du suspense et de l’intérêt pour votre roman. Il va aussi définir le but du héros, les obstacles qu’il doit surmonter, les actions qu’il doit entreprendre, les enjeux qu’il doit affronter. Par exemple, si vous voulez écrire un roman fantastique, vous devrez choisir un conflit qui mette en jeu des éléments surnaturels ou magiques (une malédiction, une prophétie, un monstre, etc.), créer un but pour le héros qui soit lié à ce conflit (rompre la malédiction, réaliser la prophétie, vaincre le monstre, etc.), inventer des obstacles qui soient en rapport avec le genre fantastique (des pièges, des énigmes, des ennemis surnaturels, etc.), et déterminer les enjeux qui soient importants pour le héros et pour le monde (la survie, la destinée, la liberté, etc.).
Définir les personnages : il s’agit de choisir les acteurs principaux et secondaires de votre roman (le héros, l’antagoniste, les alliés, les ennemis, etc.) et d’en décrire les caractéristiques physiques, psychologiques, sociales (nom, âge, apparence, personnalité, origine, profession, relation, etc.). Les personnages vont donner vie et dynamisme à votre roman. Ils vont aussi incarner le thème, le conflit, le cadre et la structure de votre roman. Par exemple, si vous voulez écrire un roman historique, vous devrez choisir des personnages qui soient en rapport avec l’époque et le lieu que vous avez choisis (des personnages réels ou fictifs, des personnages historiques ou anonymes, des personnages typiques ou atypiques, etc.), leur donner des caractéristiques qui reflètent leur contexte (leur nom, leur apparence, leur langage, leur culture, leur religion, leur classe sociale, etc.), et les faire agir et réagir selon leur personnalité et leur situation (leur motivation, leur conflit intérieur, leur évolution, leur relation avec les autres, etc.).
Définir le cadre : il s’agit de choisir le lieu et l’époque où se déroule votre roman (réel ou imaginaire) et d’en décrire les aspects géographiques, historiques, culturels, scientifiques, etc. Le cadre va créer l’atmosphère et le décor de votre roman. Il va aussi influencer le choix du thème, du conflit, des personnages et de la structure de votre roman. Par exemple, si vous voulez écrire un roman de science-fiction, vous devrez choisir un lieu et une époque qui soient en rapport avec le genre (une planète lointaine, un futur proche ou lointain, un monde parallèle, etc.), leur donner des caractéristiques qui soient crédibles et cohérentes (leur géographie, leur histoire, leur culture, leur science, leur technologie, etc.), et les faire interagir avec le thème, le conflit, les personnages et la structure de votre roman (leur impact sur la société, sur l’environnement, sur les individus, etc.).
Définir la structure : il s’agit de choisir la façon dont vous allez organiser votre roman en chapitres, parties, scènes, etc. et d’en définir le point de vue narratif (première ou troisième personne), le temps verbal (présent ou passé), le ton (humoristique ou tragique), etc. Vous pouvez aussi utiliser des modèles de structure comme le schéma actantiel, le monomythe, la pyramide dramatique, etc. La structure va donner du rythme et de la cohérence à votre roman. Elle va aussi mettre en valeur le thème, le conflit, les personnages et le cadre de votre roman. Par exemple, si vous voulez écrire un roman d’aventure, vous devrez choisir une structure qui soit adaptée au genre (une structure linéaire ou cyclique, une structure en quête ou en voyage, une structure en trois actes ou en cinq actes, etc.), lui donner des éléments qui soient propices à l’action et au suspense (un début accrocheur, un milieu mouvementé, une fin surprenante, des péripéties variées, des retournements de situation, etc.), et les adapter au point de vue narratif, au temps verbal et au ton que vous avez choisis (un narrateur omniscient ou interne, un temps présent ou passé, un ton léger ou dramatique, etc.).
Quels sont les pièges à éviter lorsqu’on cherche l’inspiration ?
L’inspiration n’est pas toujours facile à trouver ni à garder. Voici quelques pièges à éviter lorsqu’on cherche l’inspiration :
Le manque de confiance en soi : il s’agit de se dévaloriser ou de se comparer aux autres écrivains et de penser qu’on n’est pas capable d’écrire un bon roman. Pour éviter ce piège, il faut se rappeler qu’on a tous quelque chose à dire, qu’on a tous un style unique et qu’on peut toujours s’améliorer en pratiquant et en se formant. De nombreux écrivains ont connu le doute et l’angoisse de la page blanche, comme Gustave Flaubert, qui disait : “Je suis un homme plume. Je n’existe pas sans écrire”, ou Stephen King, qui conseillait : “Ecrivez avec la porte fermée, réécrivez avec la porte ouverte”.
Le perfectionnisme : il s’agit de vouloir écrire le roman parfait dès le premier jet, sans faire d’erreurs ni de fautes, et de se bloquer ou de se décourager face à la moindre difficulté. Pour éviter ce piège, il faut accepter que le premier jet n’est qu’une ébauche, qu’il est normal de faire des erreurs et des fautes, et qu’on peut toujours corriger et améliorer son texte par la suite. De nombreux écrivains ont procédé à plusieurs révisions et corrections de leurs œuvres, comme Victor Hugo, qui a réécrit entièrement Les Misérables après l’avoir achevé une première fois, ou J.K. Rowling, qui a modifié plusieurs fois le premier chapitre de Harry Potter à l’école des sorciers avant d’en être satisfaite.
La procrastination : il s’agit de remettre à plus tard l’écriture de son roman, en se trouvant des excuses ou en se laissant distraire par d’autres activités. Pour éviter ce piège, il faut se fixer des objectifs clairs et réalistes, se créer une routine d’écriture, se récompenser pour ses progrès, et se couper des sources de distraction (téléphone, internet, etc.). De nombreux écrivains ont adopté des habitudes et des rituels d’écriture pour se motiver et se concentrer, comme Ernest Hemingway, qui écrivait debout devant sa machine à écrire, ou Haruki Murakami, qui se levait à 4 heures du matin pour écrire avant de faire du jogging.
Le manque de documentation : il s’agit de ne pas faire assez de recherches sur le sujet ou le cadre de son roman, et de risquer de commettre des incohérences, des anachronismes, des clichés, ou des approximations. Pour éviter ce piège, il faut se documenter sur les sources fiables et variées (livres, articles, sites web, témoignages, etc.), vérifier ses informations, et les intégrer avec subtilité et pertinence dans son texte. De nombreux écrivains ont fait preuve d’une grande rigueur et d’une grande curiosité dans leur documentation, comme Alexandre Dumas, qui a consulté plus de mille ouvrages pour écrire Les Trois Mousquetaires, ou Dan Brown, qui a visité les lieux qu’il décrit dans Da Vinci Code.
Le manque de feedback : il s’agit de ne pas solliciter l’avis ou l’aide d’autres personnes sur son roman, et de rester enfermé dans sa bulle ou son ego. Pour éviter ce piège, il faut se faire relire par des lecteurs critiques et bienveillants (amis, famille, bêta-lecteurs, etc.), écouter leurs remarques et leurs suggestions, et les prendre en compte pour améliorer son texte. De nombreux écrivains ont bénéficié du soutien et du conseil d’autres personnes pour écrire leurs romans, comme Marcel Proust, qui a envoyé son manuscrit à André Gide, qui lui a donné son avis favorable, ou George R.R. Martin, qui a fait appel à plusieurs bêta-lecteurs pour tester la cohérence et la crédibilité de son univers dans Le Trône de fer.
Ces pièges sont des obstacles courants et naturels dans le processus créatif, mais ils ne sont pas insurmontables. Il faut savoir les reconnaître, les comprendre, et les dépasser. Il faut aussi se rappeler que l’inspiration n’est pas une donnée fixe et immuable, mais une dynamique fluctuante et évolutive. Il faut donc être patient, persévérant, et passionné. Et si vous avez besoin d’un coup de pouce ou d’un accompagnement personnalisé, n’hésitez pas à faire appel à un coach artistique, qui saura vous aider à trouver l’inspiration pour votre prochain roman.
Comment se motiver et se fixer des objectifs pour écrire son roman ?
Écrire un roman est un projet qui demande du temps, de l’énergie, de la discipline, et de la passion. Pour ne pas abandonner en cours de route, il faut se motiver et se fixer des objectifs. Voici quelques conseils pour y parvenir :
Se rappeler sa motivation initiale : il s’agit de se souvenir pourquoi on a envie d’écrire un roman, quel est le message qu’on veut transmettre, quelle est l’histoire qu’on veut raconter, quelle est l’émotion qu’on veut partager. Il faut garder en tête sa vision et sa mission d’écrivain. Par exemple, si vous voulez écrire un roman pour faire passer un message de tolérance et de paix, vous pouvez vous inspirer de vos valeurs, de vos convictions, de vos expériences, ou de celles d’autres personnes qui vous touchent.
Se fixer des objectifs SMART : il s’agit de se fixer des objectifs qui soient Spécifiques (précis et clairs), Mesurables (quantifiables et vérifiables), Atteignables (réalistes et faisables), Réalistes (adaptés à sa situation et à ses capacités), Temporels (limités dans le temps). Par exemple, au lieu de se dire “je veux écrire un roman”, on peut se dire “je veux écrire un roman policier historique qui se passe à Paris au XVIIIe siècle et qui fait 300 pages en 6 mois”.
Se créer un plan d’action : il s’agit de décomposer son objectif global en sous-objectifs plus petits et plus faciles à atteindre, et de définir les actions concrètes à réaliser pour y parvenir. Par exemple, on peut se dire “pour écrire mon roman policier historique qui se passe à Paris au XVIIIe siècle et qui fait 300 pages en 6 mois, je vais faire les actions suivantes : rechercher des informations sur le contexte historique et culturel de l’époque ; créer les fiches des personnages principaux ; établir le plan du roman ; écrire le premier chapitre ; etc.”.
Se créer une routine d’écriture : il s’agit de se réserver un temps et un espace dédiés à l’écriture, et de s’y tenir régulièrement. Par exemple, on peut se dire “je vais écrire tous les jours pendant une heure dans mon bureau entre 9h et 10h”. Il faut respecter son rythme, son horloge biologique, et ses préférences personnelles.
Se récompenser pour ses progrès : il s’agit de se féliciter pour chaque étape franchie, pour chaque sous-objectif atteint, pour chaque difficulté surmontée. Il faut se faire plaisir, se faire du bien, se faire des cadeaux. Par exemple, on peut se dire “quand j’aurai fini d’écrire le premier chapitre de mon roman, je m’offrirai un bon livre, un bon repas, ou un bon massage”.
Ces conseils sont basés sur les principes de la psychologie positive et de la gestion du temps, qui ont fait leurs preuves dans le domaine de la motivation et de la productivité. Vous pouvez les adapter à votre situation personnelle et à votre projet d’écriture. L’important est de vous fixer des objectifs clairs et réalisables, de vous organiser et de vous discipliner, et de vous réjouir de vos réussites. Et si vous avez besoin d’un soutien supplémentaire ou d’un accompagnement personnalisé, n’hésitez pas à faire appel à un coach artistique, qui saura vous aider à vous motiver et à vous fixer des objectifs pour écrire votre roman.
Quels sont les avantages de faire appel à un coach artistique ?
Un coach artistique est une personne qui accompagne les artistes dans leur processus créatif, qui les aide à développer leur potentiel, à surmonter leurs blocages, à atteindre leurs objectifs. Faire appel à un coach artistique présente de nombreux avantages, tels que :
Bénéficier d’un regard extérieur et professionnel : un coach artistique peut vous apporter un feedback constructif et objectif sur votre travail, vous faire prendre conscience de vos forces et de vos faiblesses, vous suggérer des pistes d’amélioration, vous orienter vers les ressources adaptées à vos besoins. Par exemple, un coach artistique peut vous aider à choisir le genre, le thème, le conflit, les personnages, le cadre et la structure de votre roman, en fonction de votre intention et de votre public. Il peut aussi vous donner des conseils sur le style, la syntaxe, l’orthographe, la grammaire, etc.
Bénéficier d’un soutien personnalisé et bienveillant : un coach artistique peut vous écouter, vous comprendre, vous encourager, vous motiver, vous rassurer, vous valoriser, vous inspirer, vous stimuler, vous challenger. Par exemple, un coach artistique peut vous aider à surmonter le manque de confiance en soi, le perfectionnisme, la procrastination, le manque de documentation, le manque de feedback. Il peut aussi vous aider à trouver et à garder l’inspiration, à libérer votre créativité, à exprimer votre personnalité.
Bénéficier d’un accompagnement sur mesure et adapté : un coach artistique peut vous proposer des outils et des méthodes adaptés à votre projet, à votre genre, à votre style, à votre niveau, à votre rythme. Il peut vous aider à définir vos objectifs, à créer votre plan d’action, à établir votre routine d’écriture, à vous récompenser pour vos progrès. Il peut aussi vous proposer des exercices pratiques, des jeux créatifs, des défis stimulants. Il peut également vous faire bénéficier de son réseau professionnel et de ses contacts dans le milieu littéraire.
Bénéficier d’un gain de temps et d’efficacité : un coach artistique peut vous aider à gagner du temps en évitant les erreurs, les impasses, les tâtonnements. Il peut vous aider à être plus efficace en optimisant votre organisation, votre planification, votre gestion du temps. Il peut vous aider à respecter vos délais, vos contraintes, vos exigences. Il peut aussi vous aider à finaliser et à publier votre roman, en vous accompagnant dans les démarches administratives, juridiques, commerciales.
Faire appel à un coach artistique est donc une démarche enrichissante et bénéfique pour tout écrivain qui souhaite réaliser son projet d’écriture dans les meilleures conditions possibles. Un coach artistique n’est pas un professeur qui impose ses règles ou un critique qui juge votre travail. C’est un partenaire qui respecte votre singularité et qui vous soutient dans votre démarche créative.
Vous avez besoin d'un accompagnement artistique ?
Si vous êtes intéressé par mes services de coaching artistique, je vous invite à me contacter au 06 95 54 56 57. Je serai ravi de discuter avec vous de votre projet d’écriture et de voir comment je peux vous aider à le réaliser. www.coachartistique.fr/accompagnement-projet-carriere-artistique
Je vous souhaite une excellente journée. Prenez soin de vous 🙏🏻
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